Bon, je vais peut-être vexer quelques-uns de mes amis du PS de Nanterre, mais tant pis. Il y a des baudruches qu'il importe de dégonfler.
C'est clair, et je suis bien placé pour le savoir, le discours de François Bayrou attire un certain nombre (un bon nombre ?) de gens déçus par ce que devient le PS depuis les dernières présidentielles. En particulier, à l'occasion de ces élections européennes, il semble que pas mal d'électeurs socialistes envisagent plutôt de voter MoDem.
Martine Aubry, en tout cas, semble le craindre. Elle qui n'a pas hésité à s'allier au MoDem pour conserver sa belle mairie de Lille, déclare désormais le parti de François Bayrou "ennemi public n°1". La consigne : dénigrer, dénigrer coûte que coûte. Et tant pis si, pour cela, il faut raconter n'importe quoi.
C'est ainsi que, depuis une ou deux semaines, Harlem Désir et ses camarades se répandent sur les ondes avec un seul propos : Bayrou et ses amis sont des crypto-sarkozystes hyperlibéraux qui, à Bruxelles, ne perdent pas une occasion de casser les services publics.
C'est n'importe quoi, et c'est un peu attristant de voir le PS réduit à ces extrémités... Mais on ne peut pas non plus laisser courir de tels mensonges.
Alors, plutôt que de les réfuter moi-même, je vous invite à lire ici cet article de Libération, un journal assez peu suspect de sympathies ultra-libérales. Les mensonges de Harlem Désir et de ses colistiers y sont dénoncés en toutes lettres.
Bonne lecture !
Ch. Romain
C'est clair, et je suis bien placé pour le savoir, le discours de François Bayrou attire un certain nombre (un bon nombre ?) de gens déçus par ce que devient le PS depuis les dernières présidentielles. En particulier, à l'occasion de ces élections européennes, il semble que pas mal d'électeurs socialistes envisagent plutôt de voter MoDem.
Martine Aubry, en tout cas, semble le craindre. Elle qui n'a pas hésité à s'allier au MoDem pour conserver sa belle mairie de Lille, déclare désormais le parti de François Bayrou "ennemi public n°1". La consigne : dénigrer, dénigrer coûte que coûte. Et tant pis si, pour cela, il faut raconter n'importe quoi.
C'est ainsi que, depuis une ou deux semaines, Harlem Désir et ses camarades se répandent sur les ondes avec un seul propos : Bayrou et ses amis sont des crypto-sarkozystes hyperlibéraux qui, à Bruxelles, ne perdent pas une occasion de casser les services publics.
C'est n'importe quoi, et c'est un peu attristant de voir le PS réduit à ces extrémités... Mais on ne peut pas non plus laisser courir de tels mensonges.
Alors, plutôt que de les réfuter moi-même, je vous invite à lire ici cet article de Libération, un journal assez peu suspect de sympathies ultra-libérales. Les mensonges de Harlem Désir et de ses colistiers y sont dénoncés en toutes lettres.
Bonne lecture !
Ch. Romain
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